✗ WORK : Cavalier pro en reining & moniteur d'équitation western au ranch familial.
✗ ETAT CIVIL : Célibataire, courir après les femmes pour un soir c'est mieux.
✗ ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel donc, les femmes y a que ça de vrai.
✗ LOVE OF MY LIFE :
Stop crying baby, I'm here.Nous savions tous, à quoi nous attendre, pourtant nous n'en avions fait qu'à notre tête mon frère et moi. Tous les ans, nos parents nous répétaient de ne pas lâcher les bêtes trop vite dans les grands pâturages, avant que les grosses tempêtes printanières ne soient passés. Et les avons-nous écouté ? Bien entendu que non. Par chance ou par miracle, prenez le comme vous voulez, nous n'avions mis qu'une partie des bêtes. Sauf qu'à présent, il fallait qu'on se démerdent pour aller les récupérer. Ces que ces bestiaux, sentaient la tempête arrivait et il était quasi impossible, de les mener correctement sans qu'une bête ne s'affole et n'embarque tout le troupeau avec. Heureusement que notre personnel était opérationnel, parce que plus ça allait, plus le temps devenait menaçant. Nous réussîmes toutefois à loger tout le monde à l'abri, juste avant que ça ne se gâte sévère et le temps que je me pose enfin chez moi, mon téléphone se mit à sonner... Evie. D'abord prit un peu de court, je ne savais comment réagir lorsque je lus simplement son nom, sans oser lire ce qu'elle me voulait exactement. La dernière fois que nous nous étions vu, on ne pouvait pas dire que ça c'était bien passé. Je lui avait craché toutes ses quatre vérités à la figure et pour être honnête, ça m'avait fait un bien fou. Alors le simple fait de voir son nom apparaître, mon cœur avait raté un battement.
Au bout de quelques échanges, car oui j'avais enfin réussi à lire et même à lui répondre, la rouquine ne semblait pas très à l'aise, ni même rassuré plus exactement, de passer la tempête seule chez elle. Visiblement, elle craignait que son appartement, enfin son duplex, ne tienne pas le choc face au rafale de vent et tout ce qui allait nous tomber sur la tête. Pris de panique pour elle, plus que la demoiselle ne devait l'être pour elle-même, je lui avait demandé de préparer des affaires, de sorte qu'elle puisse passer quelques jours ici, en lieu sur. Il ne me fallait pas longtemps, pour monter dans mon pick-up et partir en direction de la ville. Tout le long de la route, je scrutais vaguement mon téléphone, même si je lui avait promis d'être prudent, je ne pouvais m'empêcher de vouloir m'assurer que Evie ne m'avait pas renvoyé un autre message. Je sentais bien sa peur à travers ses mots, c'était pourquoi je m'étais proposé de l'héberger. De toute façon, je ne pouvais rester confiné loin du ranch, tempête ou pas je me devais d'être présent pour m'occuper des bêtes. C'est que malgré tout, ça mange ces bêtes là ! Ceci dit... J'avais une certaine appréhension à m'approcher de plus en plus de son lieu d'habitation... Bon nombres de souvenir me revinrent, surtout ceux de nos longs ébats sensuel et surtout, charnel. Que bon temps nous avions passé là, malgré les avertissements de mes proches quant au fait que la rouquine ne se servait de mes talents de cavalier que pour ses propres fins personnels. A ses yeux, je n'étais que le petit cow-boy miteux, auquel il était facile de berner pour parvenir à ses fins de compétitrice. Car oui, la jeune femme était douée il fallait se l'avouer.
Rouler était une chose, mais s'arrêter devant chez elle en était une autre. Je réussi à la prévenir tout de même de mon arrivé, avant que le réseau ne soit définitivement coupé. Cependant je ne pouvais resté dans mon 4x4 à l'attendre, alors je remis mon chapeau, réajustant le col de ma veste et sortit précipitamment de mon véhicule, me mettant à faire le tour de celui-ci pour l'attendre sous la devanture de son logement. Soit je trouvais le temps long, soit je n'aimais pas me mouiller à rien faire, à part attendre sagement que la pauvre jeune femme apeurée, ne vienne me rejoindre. Car dès que la porte s'ouvrit sur cette dernière, lui laissant le temps de fermer derrière elle bien évidemment, je ne pus m'empêcher de la prendre dans mes bras. Instinctivement, j'avais humé son parfum. Cette douce odeur sucré, qui m'avait tant manqué et dont mes mes draps, à force d'être lavé, s'en était évaporé... « Ça va aller... » lui avais-je doucement souffler dans le creux de son oreille. A se demander si c'était plus pour Evie ou pour moi, que j'avais dit ces mot, dans l'espoir de nous rassurer l'un et l'autre. « Aller viens, je te ramène chez no... moi. » Chez nous... Non mais oui bien sûr Cody ! Durant tout le trajet du retour, je n'avais pipé mot, le silence étant très pesant entre nous. Personnellement, le vent qui soufflait en rafale, commençait sérieusement à me taper sur les nerfs. Le pick-up avait beau être lourd, j'arrivais à sentir chaque secousse entre les bourrasque. Fort heureusement, nous arrivâmes au ranch, sans embûche et la pauvre voiture revint une nouvelle fois au garage. A peine nous eûmes franchit le seuil de ma porte, que je m'étais précipité dans la cuisine, lui préparant un bon chocolat chaud, que je vins lui servir sur la table basse du salon, déposant par la même occasion un plaid sur ses épaules. Je me devais de me contenir, même si c'était dur, ce fut pourquoi, je laissais volontairement de l'espace entre nous, pour la laisser souffler. « Tu te sens mieux ? » Et c'était pas l'envie qui me manquer de la serrer une nouvelle fois contre moi.[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Mar 26 Mai - 23:42
Evie Weddinghton
• Habitante de Seattle
✗ MIROIR : Noah McGrath (A. Driver) ; Warren Milligan (J. Edlind) ; Jimmy Dunham (C. Deidrick) ; April Blackwell (D. Cameron)
✗ CÉLÉBRITÉ : Karen Gillan.
✗ MESSAGES : 85
✗ PHOTO D'IDENTITÉ :
✗ ÂGE : 35
✗ WORK : elle a lancée sa propre société de prêt à porter, histoire de montrer à son père qu'elle n'a pas besoin de lui pour réussir.
✗ ETAT CIVIL : célibataire, le coeur qui essaie de cicatriser depuis quatre ans. elle est toujours éprise d'un certain jeune homme passionné de chevaux et vivant dans une ferme.
✗ ORIENTATION SEXUELLE : bisexuelle assumée. elle a cependant une préférence pour les beaux mâles.
✗ LOVE OF MY LIFE :
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Stop crying baby, I'm here.
Tout le monde en parle. Ça passe en boucle sur toutes les chaînes de télévision du pays. Une tempête arrive, comme tous les ans, à Seattle. L'an dernier, tu as eu la peur de ta vie. Ton immeuble a failli ne pas tenir le coup et le coût des dégâts a été énorme. Cette année, tu le sens que quelque chose de grave va arriver. Blottie sous ta couette, recroquevillée sur toi-même, t'as peur. Les mains qui tremblent, les larmes qui ruissellent sur tes joues et viennent ruiner ton maquillage. T'as peur, tu tremble. Cellulaire à la main, t'hésite à l'appeler. Votre précédente altercation ne s'est pas très bien passé. Il t'en veux énormément, toutefois, tu as cru déceler une petite pointe d'attachement envers toi. Cody, son nom apparait sur l'écran de téléphone. Envoyer un message. Tu lui demande de l'aide, tu le supplie de venir te chercher. Il a le coeur sur la main, il ne refusera pas, tu le sais. Cody et Evie, c'est pour la vie. Vous vous l'êtes promis autrefois. Prenant ton courage à deux mains, tu viens attraper ton sac de voyage et glisse quelques affaires de rechange ainsi que ton nécessaire de toilette et de maquillage à l'intérieur. Sac prêt, t'enfile un jean taille haute de couleur noir, un petit chemisier blanc à poids noir également. En chaussures, tu ne te sépare que rarement de tes hauts talons sauf aujourd'hui, tu opte pour une paire de basket blanches. Assise sur le canapé, tu tente de faire abstraction au vent qui souffle à l'extérieur. Des souvenirs te reviennent en tête. Toi, enfant, t'avais six ans. Tes parents étaient sortis au restaurant, ils t'avaient laisser en compagnie de la cuisinière et du jardinier de la maison, le vent soufflait presque aussi fort qu'aujourd'hui. Tu pleurais àà chaudes larmes dans ton lit, serrant très fort ton doudou contre toi. Tes parents n'étaient pas là, ils s'en fichaient de toi. Tu cours dans ta chambre et attrape ton doudou, tu le serre contre toi. Cody arrive, il te l'as promis par message. On sonne à la porte. Tu te précipite et voit, enfin, le visage de ton ex petit-ami. Tu saute dans ses bras, reniflant dans ses bras. "Merci d'être venu .." Tu dis, lui tirant la main à l'intérieur de ton appartement. C'est étrange de le revoir ici, chez toi. Autrefois, il était venu un nombre incalculable de fois. Vous aviez fait l'amour dans chacune des pièces de cet appartement. T'espère vraiment retrouver sa confiance un jour et pouvoir être à nouveau à lui, entièrement à lui. Tu souris lorsqu'il est à deux doigts de dire qu'il te ramène chez vous. T'aimerais tellement que ça soit vrai, que ça soit votre maison. Ça aurait dû l'être mais non, il a fallu que tu le quitte, tu l'abandonne, tu le fuis. "Je te suis Cody.." Tu prends sa main dans la tienne, ton sac dans l'autre. Tu grimpe dans sa voiture. Sentiment étrange qui t'envahis plus vous vous approchez de sa maison. Un sentiment de bien-être, une sensation d’apaisement. Son ranch est là, juste en face de toi. Tu descend et te dépêche de rentrer chez lui. Le coeur sur la main, il te place un plaid sur tes épaules, et vient te servir une tasse de chocolat chaud. Il se souvient de cela, ça te fait chaud au coeur. "Merci mon am... Cody.." Oups, t'as failli lui donner ce surnom que tu lui donnais autrefois. Tu souris à cet homme qui vient se placer à côté de toi. La distance entre vous ne te satisfait pas, tu te déplace et viens enlacer sa taille de tes bras. "Là, je me sens mieux oui." Tu souris et viens poser ta tête sur son épaule. T'as l'impression de revenir quatre ans en arrière, comme si rien ne s'était passé et que vous étiez toujours ensemble. "Je ne t'ai pas dérange au moins, j'espère.."
✗ WORK : Cavalier pro en reining & moniteur d'équitation western au ranch familial.
✗ ETAT CIVIL : Célibataire, courir après les femmes pour un soir c'est mieux.
✗ ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel donc, les femmes y a que ça de vrai.
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Stop crying baby, I'm here.Les essuies glace qui grincent sous l'effet de la pluie battante, le vent qui soufflait en rafale, m'emmenant sur les bords de route, il y avait tout pour intimer les gens de rester chaudement chez eux. Mais non, il n'y avait qu'un pigeon pour aller chercher sa belle jusque chez elle, pour la ramener en lieu sur. Il n'aurait pas été impossible, que la rouquine se paye une fois de plus ma tête, dans son propre intérêt personnel. Pourtant, cette fois j'avais envie de la croire, surtout depuis notre dernière rencontre. Pourquoi m'aurait-elle menti sur le bébé ? Pour te pigeonner abruti ! Ouvre tes yeux un peu et prends conscience une bonne fois pour toute que c'est qu'une salope qui sait qu'elle peut t'avoir quand elle veut et où elle veut. Non, pas Evie. Je le savais, je le sentais au fin fond de mes tripes qu'elle avait du cœur. Une fois arrivé devant son duplex, je coupais le moteur, soufflant un bon coup tout en osant tourner mon regard vers sa demeure. Tant de souvenir m'avaient envahit, repensant à tout ce que l'on avait vécu elle et moi, dans ce fameux habitat. Et que de souvenir d'ailleurs ! Attrapant mon chapeau et retirant mes clés, j'affrontais finalement la pluie pour me réfugier devant sa porte.
Lorsque cette dernière s'ouvrit, je ne m'étais pas fait prier pour me mettre à l'abri, tout en la prenant dans mes bras. La pauvre, semblait apeurée et toute déboussolée. « Je t'en prie. » Fut la seule chose que je réussis à dire, quant au fait qu'elle me remerciait d'être venu. N'était-ce pas normal de la part d'un... Ami ? Non... Ex petit-ami, il ne fallait pas l'oublier. Car ces lieux, il y avait déjà bien quatre ans, quatre putain de longues années, que je n'y avais remis les pieds. D'ailleurs, on m'aurait dit juste après notre rupture que j'y reviendrais pour venir la chercher, je ne l'aurais jamais cru. Surtout pour la ramener chez moi qui plus est. « Alors on y va. » Puisque tout semblait être bon de son côté, il n'y avait plus qu'à. Peut de temps après ça, j'avais faillis dire chez nous. Quelle boulette judicieusement évité... Bien que je doutais fort que la belle soit dupe à ce point. Malgré le fait que le trajet se passait en silence, c'était pourtant si bon de l'avoir ne nouveau près de moi, prêt à l'accueillir de nouveau dans mon chez moi. Ce n'était pas n'importe qui, qui plus est, qui avait le privilège de venir dans notre ranch. Quand bien même j'avais ma petite maison à côté, il n'y avait que la jeune femme qui avait eu cette chance. Car oui, même s'il y en avait eu d'autres après elle mais qui de toute manière ne lui arrivait pas à la cheville, ce n'était pas n'importe qui, qui aurait eu le privilège de passer quelques jours chez moi à cause d'une tempête.
De toute façon, à mes yeux c'était une évidence, c'était Evie et ça serait toujours Evie, quoi qu'il advienne et quoi qu'il puisse se passer. Aussi, quand nous fûmes arrivé, ni une ni deux, un plaid s'était logé sur ses épaules, tout pendant qu'elle se repose sur mon canapé, en attendant que je lui serves un chocolat chaud en plus. D'ailleurs, la rouquine aussi avait manqué de dire mon amour, tout comme moi avec notre chez nous. Comme quoi, nos habitudes ont tôt fait de revenir comme des chevaux lancés au grand galop. N'était-ce pas la providence qui nous certifier que nous étions fait pour être ensemble ? Pour ma part, j'en étais sur et certains. Les fesses à peine poser sur mon divan, lui demandant si tout allait bien, que son corps et ses bras vinrent m'enlacer de nouveau. Posant à mon tour ma tête au-dessus de la sienne, j'inspire profondément son parfum, malgré qu'il se soit estompé à cause de la pluie orageuse. « Du tout. A part soigner les bêtes, les défouler dans le manège quelques minutes, on a pas grand-chose à faire. Les journées seront courtes par rapport à d'habitude. » Enfin courte, tout était paradoxal parce qu'il y aurait tout de même les boxs à faire, même si ce n'était pas mon taff mais or de question de rester à rien faire, si monter et entraîner les chevaux n'était plus possible. Soudain, un éclair fendit l'air, suivit de près par le tonnerre. Ma main vint caresser, comme une habitude lointaine, son épaule. « T'en fait pas, tu risques rien ici. J'vais mettre tes affaires dans la chambre d'ami, ne crains rien je reviens. » Me séparant à contre cœur de son étreinte, je posais ses affaires dans la chambre voisine à la mienne. De nouveau au rez-de-chaussé, je retournais à la cuisine, cherchant quelque chose à grignoter. « Tu veux manger quelque chose ? Ou bien grignoter un truc ? » Mouais, autant dire que la cuisine pouvait être excellente comme répugnante avec moi, selon ma motivation. « Je t'avoues avoir fait le plein pour un régiment de toute façon. » De sortes qu'elle ne vienne pas à s’inquiéter si le stock devait diminuer par sa faute, ce qui n'était bien évidemment pas le cas.[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Lun 29 Juin - 18:30
Evie Weddinghton
• Habitante de Seattle
✗ MIROIR : Noah McGrath (A. Driver) ; Warren Milligan (J. Edlind) ; Jimmy Dunham (C. Deidrick) ; April Blackwell (D. Cameron)
✗ CÉLÉBRITÉ : Karen Gillan.
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✗ ÂGE : 35
✗ WORK : elle a lancée sa propre société de prêt à porter, histoire de montrer à son père qu'elle n'a pas besoin de lui pour réussir.
✗ ETAT CIVIL : célibataire, le coeur qui essaie de cicatriser depuis quatre ans. elle est toujours éprise d'un certain jeune homme passionné de chevaux et vivant dans une ferme.
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✗ LOVE OF MY LIFE :
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Stop crying baby, I'm here.
Cody est arrivé. Il est chez là, chez toi, dans ton loft. Cet endroit où le jeune homme est venu assez souvent il y a encore quelques années en arrière. Dehors, le vent commence à souffler de plus en plus fort. La pluie s'abbat violemment sur tes fenêtres. Cody a accepté de venir te chercher, de t'emmener chez lui. Avec la tempête qui éclate dehors, t'as peur que ton immeuble ne tienne pas le choc. On adore les immeubles modernes ! Aussitôt arrivé, tu viens prendre sa main et le suit jusqu'à son véhicule. À l'intérieur, t'es morte de trouille. Tu ne sais pas comment cette tempête va se terminer. Pourtant, la présence de ton ex petit ami te rassure, elle te fait du bien. T'aurais très bien pu te servir de lui encore une fois sauf que non, ce n'est pas le cas. Tu as grandie, évoluée. Tu as changée, tu n'as plus envie d'être cette petite fille capricieuse, pourrie gâtée. Créer ton entreprise t'as changé, tu ne ressemble plus du tout à la femme que Cody a pu connaitre quatre années auparavant. Et tu compte bien le lui montrer. Te voici arrivée chez lui, devant sa ferme. Cet endroit te remémore tellement de souvenir. Ton amour pour Cody n'est jamais mort. Il est toujours rester intact à l'intérieur de toi, seulement tu as enfouis tes sentiments au plus profond de ton être. Le revoir a tout fait ressortir. Tu l'aime. C'est lui et personne d'autre. Le simple fait que le jeune homme soit venu te chercher aujourd'hui prouve que lui aussi est encore très accro à toi. Assise sur son canapé, tu viens sentir un plaid se poser sur tes épaules. Cody a toujours été ainsi : prévenant, bienveillant envers toi. "Tu te souviens de notre weekend en pleine forêt, quand on a fait du camping sauvage ?" Petit souvenir qui te décroche un sourire. Tu te souviens surtout de la pluie que vous vous êtes pris sur la figure. Votre nuit sous la tente s'est transformé en nuit dans la voiture du jeune homme. "D'ailleurs, je crois que c'est cette nuit-là qu'on a fait conçus notre mini nous !" Tu dis, une vive douleur dans la poitrine te prend soudainement. Il t'es encore douloureux de parler de ça. Tu viens te serrer contre lui, tes bras autour de toi. Son odeur qui t'enveloppe doucement. « Du tout. A part soigner les bêtes, les défouler dans le manège quelques minutes, on a pas grand-chose à faire. Les journées seront courtes par rapport à d'habitude. » Cody a toujours été un passionné dans son travail. C'est ce qui t'as plu chez lui. Un homme qui aime autant les bêtes que lui ne peut pas être mauvais. Et non, Cody ne l'es pas. C'est quelqu'un de bien et t'espère qu'un jour tu pourras à nouveau porter son enfant en toi et lui offrir l'occasion d'être papa. Il s'en va déposer tes valises dans la chambre d'ami. Un peu déçue, tu essaie de le cacher. T'aurais préféré venir dormir avec lui mais rien ne t'empêchera de débarquer dans sa chambre en pleine nuit et de venir dormir dans ses bras. La seule chose que tu as envie de manger à cet instant c'est lui. Tu viens à nouveau te coller contre lui. "toi ?" Tu dis, de manière aguicheuse. Tu viens t'assoir sur la table de la cuisine, croisant les bras de manière à ce qu'il puisse venir entrevoir ta petite culotte sous ta jupe. "Cody.. Je t'en supplie, viens. Prends-moi et éteind ce feu ardent qui brûle en moi depuis que l'on est séparé." Tu l'attrape par le col de son tee-shirt et vient l'embrasser passionnément. Tes mains glissent sur ses fesses, tu viens le serrer d'avantage contre toi.
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Stop crying baby, I'm here.Evie était là, de retour dans ma petite maison à l'écart de la grande fratrie Redfox dans la maison principale. Si par malheur ils apprenaient que la rousse était revenu parmi nous, tous autant qu'ils étaient n'allait pas du tout apprécié cette mauvaise blague. Depuis le début, ils savaient qu'elle me briserait le cœur. Seulement moi, amoureux transit, je n'y avait vu que du feu. Or maintenant qu'elle avait besoin de moi, qu'elle m'avait appelé à l'aide, je n'avais pu la laisser ainsi. Pourquoi, pour qu'elle raison ? Tout bêtement parce que j'étais encore amoureux d'elle, que ça en crèverait les yeux à n'importe qui, même à un aveugle. peut-être faisais-je une grossière erreur en la laissant de nouveau franchir les portes de ma vie, seulement c'était mon choix et pas celui des autres. Si cela les gêner, eh bien tant pis. J'avais beau être très proche de ma famille, de les écouter et de les épauler dans le besoin, tout ce qui concernait ma relation privée ne regardait que moi. Aussi, si j'avais décrétait que la rousse viendrait passer quelques jours à l'abri dans ma maison, c'était ma décision. Quand bien même je vivais malgré tout dans la propriété de mes parents. Comme quoi, je n'avais pas vraiment quitter le cocon familial. M'enfin soit, c'était ainsi et pas autrement.
Et nous avions à peine franchit les portes de la maison, que l'on sentait que la rousse n'était pas à son aise face à cette intempérie. Comme toutes ces années où nous avions été ensemble à bien y réfléchir. Comme quoi, il y avait des choses qui ne changeait pas malgré tous ce temps où nous avions vécue des choses formidables elle et moi. Une époque où nous nous battions contre le reste du monde, il n'y avait que nous et qu'importait ce que les gens disaient, on s'en fichait pas mal. A l'exception près, que son père avait toujours une emprise sur ses propres décisions à elle. Quel ordure cet homme en y repensant, il pensait à sa propre gueule, à sa propre réputation avant le bonheur de sa fille et pour moi, c'était inconcevable de penser de la sortes. C'était d'un égoïsmes sans nom. Pourtant, Evie avait toutes les facultés du monde, de s'en sortir sans lui, de lui prouver qu'elle était capable de grandes choses. Mais qu'importe ce que la rousse faisait, ça ne lui convenait jamais. Evie aurait pu remporter un prix Nobel, ça n'aurait eu aucun impact sur la fierté qu'il pourrait lui offrir. Alors j'aimais mieux la savoir ici, avec moi, plutôt qu'avec sa famille, qui la rabaisserait sans nul doute plus bas que terre. Lui déposant un plaid sur ses épaules, je lui offrait mes bras en la rejoignant sur le canapé en guise de réconfort le temps d'un court instant, puis j'en profitais pour ranger ses affaires.
Le temps que je range ses affaires, je repensais à ce qu'elle m'avait dit, concernant notre petite escapade en forêt. J'avais préféré dévier le sujet, car de toute évidence, parler du bébé qu'elle avait perdu, était encore beaucoup trop tôt et bien trop douloureux pour la rousse. Cela n'aurait fait qu'empirer ses remords et ce n'était pas dans mes intentions, aussi je m'étais dit, que ne pas en parler était peut-être la meilleure des solutions. Inutile de ressasser le passé, ce qui à était fait est fait à présent. De retour dans ma cuisine, alors que je lui demandait si elle désirait quelque chose, sa seule réponse fut moi. En gros, la belle désirait me manger. Ce qui n'était pas étonnant, cette jeune femme avait toujours eu un appétit très... Vorace concernant la sexualité évidemment. Ce qui me convenait plus que tout autre chose. Il y avait toujours eu cette attraction, cette alchimie entre nous. Un feu bouillonnant, qu'on avait jamais réussi à éteindre. C'était aussi ça, qui me rendait autant accro à la belle. Son appétit insatiable me comblait de joie à chaque rapport que nous entreprenions. De toute évidence, Evie semblait plus que joueuse ce soir-là, ce qui bien évidemment, ne me laisser pas indifférent. La scrutant attentivement, tout son corps était un appel à un acte qui se voulait tout sauf catholique. Comment lui résistait, elle était si belle quand elle savait jouer de ses charmes contre moi.
Mes mots n'avaient même pas le temps de sortir de ma bouche, que ses lèvres s'étaient écrasé sur les miennes, ses mains se glissant déjà sur mes fesses. Grognant de plaisir, mon bassin avait réagit pour moi et nous voilà déjà coller l'un à l'autre en l'espace d'une seconde. Mes mains glissaient lentement et sensuellement sur son dos, jusqu'à ses hanches, que je m'empressais de rapprocher sur les miennes. Mes baisers se faufilèrent de sa bouche, jusqu'à son cou. « Tu sais très bien, quel effet tu as sur moi. » C'était une sortes, de provocation, pourtant je m'y fin très rapidement à son petit jeu. « Seulement je n'oublies pas Tigresse. J'ai trop souffert pour que tu puisses recommencer. » Me prenant une bière dans le frigo, je m'adossais à ce dernier. « C'est frustrant n'est-ce pas ? De se sentir rejeter de la sortes. » Il ne m'avait pas fallut longtemps pour décapsuler et prendre une gorgée dans la même foulée. La dévisageant un long moment, je revins finalement vers elle, glissant ma main libre entre ses jambes, remontant lentement du bout des doigts jusqu'à sa petite culotte. Lui murmurant ses quelques mots à l'oreille, je m'arrêtais aussi vite que j'avais commencé. « Va falloir sacrément te faire pardonner... Vilaine. » Était-ce un jeu, une provocation ? Très certainement mais je pouvais me montrer aussi joueur qu'elle ne l'était elle-même.[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Mer 4 Nov - 23:19
Evie Weddinghton
• Habitante de Seattle
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Le ranch des Redfox est là, face à toi. La tempête fait rage dehors, pas le temps de s'attarder sur l'extérieur. Te voici dans l'antre de Cody. Cet endroit que tu as beaucoup -trop- fréquenté il y a quatre ans de cela. Le cœur battant la chamade, le souffle court. Tes yeux se posent, ici et là, tout autour de toi. Rien n'a vraiment changé. Toujours la même décoration, les mêmes photos, les mêmes bibelots. Tu l'as appelé à l'aide. La tempête a fait trembler les murs de ton appartement, la peur t'as envahis. Un message envoyé et le voilà qui arrive te secourir comme si tu étais une demoiselle en détresse. Il est là, avec toi. Il est là, te rassurant comme il le seul à savoir le faire. Si Jona ou Hailey apprennent que tu es de retour dans la vie de leur frère, ils ne se gêneront pour te dire tes quatre vérités. Tu le mérite mais t'es bien décidé à réparer le cœur blessé, brisé, anéanti de Cody. Tu compte réparer tes bêtises et, surtout, ne plus jamais écouter les paroles de ton paternel. « T'es sûr que ça te gêne pas que je sois chez toi ? » Il est trop tard pour repartir. Dehors, il ne fait pas bon de sortir les bêtes.
Les volets claquent contre les fenêtres. Les arbres se plient presque à en atteindre le sol. Quelques tuiles du toit de la grange s'envolent et viennent s'écraser sur le mur d'en face. Les tempêtes ne sont pas rares à Seattle, tu n'es quand même pas rassuré. Ton sang se fige dans ton veines. La boule au ventre, tu pense au pire concernant ton appartement. Les assurances, les experts. T'es fatigué d'avance des formalités à venir. Ton regard posé sur l'homme de ta vie, tu l'observe aller et venir dans sa maison. Toi, morte de trouille, tu restes planté là. Des souvenirs te reviennent en mémoire. Toi, lui, quatre ans plus tôt, à rêver de votre vie future. De vos futurs enfants, de votre mariage. Cody qui s'est toujours mesuré à ton paternel, qui t'as toujours soutenu quand tu as développé ta marque. Ton âme et ton cœur lui appartiennent. Ta vie est liée à la sienne. Il est ton avenir, ta famille.
Ressasser ses souvenirs heureux que tu as pu partager avec l'homme de ta vie te rendait heureuse mais penser à ce petit être que tu as tué à cause d'un homme qui ne t'as jamais aimé te fait du mal. Cody semble t'avoir pardonné, te répétant sans cesse que ce n'est pas de ta faute. Tu ne comprends pas ton père. N'importe quel homme serait ravi de devenir mais pas lui. Ou plutôt, il ne te désirait pas. Te faisant payer ta venue au monde. Le passé est le passé. Personne ne pourra le changer. Tu peux juste l'améliorer et faire en sorte de l'oublier.
La nostalgie du passé s'en va, laissant place à cette attraction chimique qui vous caractérise. Ton corps vient se coller contre celui du rancher, tes mains pressant ses fesses. Tes talons lancés dans un coin de la pièce, tu reprends ta taille initiale. T'as envie de lui. Envie qu'il te prenne et te fasse redevenir sienne. Tu joues, tu t'amuse. Tu veux qu'il perde pied. Tu veux le rendre fou. Il est ta proie et tu compte bien le capturer dans tes filets ce soir. « J'en ai un vague souvenir. Tu peux me montrer ? » Tu dis, sourire malicieux plaqué sur tes lippes. Il s'en va, il s'éloigne. Sourcils froncés, tu l'observe du coin de l'oeil se servir d'une bière. Lui aussi a envie de jouer apparemment. Lequel craquera en premier ? Près de toi, Cody s'amuse à passer sa main sur ton entrejambe, caressant ta petite culotte. Tu lui pique sa bière et en but une longue gorgée. Bondissant sur tes deux jambes, tu le pousse le faisant basculer sur le canapé. Ton corps se faufile sur lui, l'empêchant de bouger. De tes mains habiles, tu retire le tee-shirt de l'homme. Des baisers brûlants se promènent de part et d'autre de son torse. Ta main commence à défaire la boucle de sa ceinture, puis passe dans son caleçon. Tu caresse son membre. « T'as oublié à qui tu avais à faire ? Je te connais, je sais quels sont tes points sensibles ! » Tu dis, mordillant son lobe d'oreille tandis que ta main caresse son sexe de plus en plus. Il est à toi, tout entier. Des pieds à la tête. Tu retire ta robe, te retrouvant en sous-vêtements rouge en dentelle face à lui.
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✗ ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel donc, les femmes y a que ça de vrai.
✗ LOVE OF MY LIFE :
Stop crying baby, I'm here.L'avoir ici, chez moi, pendant quelques jours à cause d'une tempête, était la meilleure chose qui pouvait m'arriver. Je l'aimais, c'était indéniable mais d'un amour si puissant, qu'il aurait pu me tuer si ma famille ne m'avait pas soutenu le jour de sa disparition. Et de toute façon, comme Jonathan était mal en point, je passais toute mes journées à lui rendre visite, lui faire un point de la situation au ranch et dans ma vie sentimentale catastrophique. Je ne sais s'il pouvait m'entendre mais au fond, je crois bien que oui, il en était capable. Non pas qu'à présent mon grand frère m'en montré les signes, or notre relation était bien plus solide suite à son accident. En revanche ma relation avec Evie elle, s'était écrasée comme un avion sans pilote dans un océan d'incompréhension. J'en avais énormément souffert, sans pouvoir me satisfaire de toutes ces femmes avec lesquels j'avais tenté vainement de la remplacer. Aucune n'avait son égal, ma Tigresse était unique. Chaque partie de jambe en l'air, nos fous rires au lit, nos repas réussi comme raté. D'ailleurs s'ils étaient ratés, on passait commande ou on prenait à emporter. Toutes ces belles années passés ensemble, je pensais bien ne jamais les retrouver en cet instant.
Pourtant la belle était bien là, chez moi. « Tu ne me dérangeras jamais, Evie. » Et ça me faisait mal de dire ça, car mon cœur avait raté un battement, de peur que la jeune femme ne m'échappe encore une fois, après que tout ceci soit terminé. Pourtant c'était bien moi qu'elle avait appelé en catastrophe, pas quelqu'un d'autre. Sauf que ça ne suffisait pas à me rassurer, j'avais toujours cette peur constante qu'elle ne s'enfuit, qu'elle s’efface de nouveau de ma vie. Alors il me fallait profiter de sa présence, tout du moins à fond et autant qu'il m'était permis de l'avoir près de moi pendant cette intempérie. Cela dit, le vent avait beau soufflé de toutes ses forces et la pluie pouvait bien frappé contre les carreaux, la rousse n'en perdait pas sa soif avide de s'amuser un tantinet avec moi. Loin de moi l'idée que ça me déplaise, bien au contraire je ne demandait que ça mais ça serait ravivait une flamme dans mon cœur, que je ne supporterait pas qu'elle éteigne d'un simple souffle de sa part. Malgré tout ça, je ne pouvais résister plus longtemps à son appel, c'était ainsi et ça l'avait toujours était, pourquoi est-ce que cela changerait maintenant ?
Ses lèvres sur les miennes, cette attraction qui ravive déjà de lointain souvenir passionnel mais surtout charnel. Son corps tout entier m'appelle, m'entraîne à la dérive de cette envie qui grandit déjà au fond de mon être. J'ai envie d'elle, plus que jamais. Pourtant je me détache, je me fais du mal et part la même occasion, à la seule femme qui ne demande que de l'attention pour oublier ce qui se passe dehors. Seulement voilà, je ne pouvait effacer tout le mal que la rousse m'avait fait, il fut un temps jadis. Sauf que ce n'était pas ce que je voulais, je la voulais mienne, pour l'éternité. Alors pour me déconcentrer de tout ça, je m'étais prit une bière, dans l'espoir absurde de satisfaire ma soif avide de sexe que j'éprouvais pour la jeune femme assise en face de moi. Lui prétextant bien sûr, que c'était frustrant, alors que ça l'était d'autant plus pour moi. Revenant vers elle, je ne pouvais resté sans rien faire, même si la dévorait des yeux était déjà beaucoup. Ma main vint se glisser sous sa robe, sans retenue aucune. Bien entendu mon geste, fut de courte durée, car Evie s'emparait déjà de mon breuvage, buvant d'une traite et m'emmenait déjà sur le canapé. Ça n'avait pas traîné, ce n'était qu'une question de temps de toute façon.
✗ MIROIR : Noah McGrath (A. Driver) ; Warren Milligan (J. Edlind) ; Jimmy Dunham (C. Deidrick) ; April Blackwell (D. Cameron)
✗ CÉLÉBRITÉ : Karen Gillan.
✗ MESSAGES : 85
✗ PHOTO D'IDENTITÉ :
✗ ÂGE : 35
✗ WORK : elle a lancée sa propre société de prêt à porter, histoire de montrer à son père qu'elle n'a pas besoin de lui pour réussir.
✗ ETAT CIVIL : célibataire, le coeur qui essaie de cicatriser depuis quatre ans. elle est toujours éprise d'un certain jeune homme passionné de chevaux et vivant dans une ferme.
✗ ORIENTATION SEXUELLE : bisexuelle assumée. elle a cependant une préférence pour les beaux mâles.
✗ LOVE OF MY LIFE :
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Stop crying baby, I'm here.
La tempête fait rage sur Seattle. Te voici chez lui, chez celui dont tu as brisé le cœur mais pour qui ton palpitant ne cesse de battre. Même quatre ans après votre brutale séparation, tu ne cesse d'être amoureuse de lui. Tu n'as jamais cessé de l'aimer. Il y a des années de cela, tu lui a donné ton âme, ton corps et ton cœur. Tu t'es offerte à lui de toutes les manières possibles. En le quittant, en l'abandonnant, tu as cherché à combler ce vide en toi. Tu as essayé de le remplacer mais en vain. Aucun homme n'a su te faire vibrer comme lui a toujours su le faire. Cody est là, ancré dans ton esprit, dans ton âme. Depuis le premier regard échangé, il t'as marqué au plus profond de toi. Cet amour qui vous lit depuis toutes ces années ne connaîtras jamais de point final, seulement des virgules, des pauses. Jamais il ne se finira. Même après la mort, ton cœur lui appartiendra toujours. Tous ces souvenirs que vous avez pu partager à l'époque, ils te reviennent en mémoire dès l'instant où tu as franchis le seuil de son ranch. Rien ne semble avoir changé ici. Il n'y a que vos photos qui ont dû rejoindre le placard. Tu ne lui en veux pas, les tiennes sont ranger avec beaucoup de soin dans une boîte à chaussures tout en haut de ta penderie. T'as l'impression de ne pas être à ta place, pourtant, c'est lui qui a proposé de t'héberger et, aussi étrange que cela puisse paraître, tu n'as aucunement envie d'être ailleurs ce soir. Juste ici, avec lui.
Sourire heureux sur tes lippes, tu as envie de sauter dans ses bras et de poser tes lèvres sur les siennes. Tu te retiens malgré tout. Si tu l'as fuit une fois, tu ne recommenceras pas. Tu es épris de cet homme. Tu l'as dans la peau, tu veux être sienne de nouveau. Dehors, c'est la tempête. Les dégâts seront sans doute exorbitants demain. Ça ne t'empêche de rester fidèle à toi-même et d'essayer de le faire flancher. À l'époque, c'était ton jeu préféré. Tu adorais arborais des tenues très légères pour le faire craquer. Et ce soir, tu compte réussir de nouveau. T'unir à lui, sentir ses gigantesques mains contre ton corps, le sentir en toi. Tu en as terriblement envie. Tes lèvres s'emparent des siennes. Elles viennent le mordiller sauvagement. Attraction sexuelle qui revit soudainement. Ton cœur s'emballe, ton corps le désire et le réclame. Tu as envie de cet homme, maintenant plus que jamais. Tu as fait une erreur en le quittant, en laissant ton père te dicter ta conduite. Cette fois, tu ne l'abandonnera. Tu as tes preuves à faire encore. Il n'a pas à avoir peur, tu lui prouveras ta bonne foi et ton attachement envers lui. Tu le pousse sur le canapé et viens te glisser sur lui, à califourchon. Tes mains qui parcourent son torse musclé. Tu es bien incapable de lui résister. Tu n'attend qu'une seule chose de lui : qu'il vienne éteindre ce feu ardent en toi. C'est lui qui l'a allumé, c'est donc à lui de venir l'éteindre.
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